Sur les routes indienne.
Réveillés tôt, bagages packtés, et après de déchirants adieux, nous prenons la route avec notre fidèle conducteur en direction de Hemalkasa.. Ca parle philosophie, ça chante (fort), ça dort (enfin ça essaye), mais surtout ça observe. Les marchés garnis
et colorés, le paysage, les camions
rouillés débordants de marchandises, les femmes travaillant au milieu de la route,
les ponts en construction, les écoliers à vélos, etc…
On passe de la steppe
aux montagnes, du désert aux fleuves débordants, sur des routes aussi lisses que
du gruyère et, à coup de klaxons, on avance encore et toujours. Ça y est, on a
découvert la signification d’un coup de klaxon : « éh oh je suis
là ! » ou « dégage! on passe, je suis plus gros... alors si tu bouges pas, je t’écrase comme une vulgaire pizza » ou encore « impact dans
3… 2… 1… ». David a du prendre ses calmants. Heureusement, on a fini par
arriver sans trop de dégâts.
Arrivés ici, on mange aussi des chapatis, mais faits à la
machine (et vachement moins bons). On doit se réhabituer à une nouvelle manière
de vivre mais s’il y a bien une chose qui ne change pas, c’est qu’on s’écrase
tous ensemble pour dormir.
Apres une sieste bien méritée (lol), c’est avec courage et ardeur que nous avons entrepris une ballade au bord d’un magnifique fleuve où on aurait
pu croiser des crocodiles hardcore. Mais la ballade se déroula paisiblement.
Nous avons observé des pêcheurs locaux qui semblaient en avoir rien a cirer
qu’une machoire de crocs aiguisée ne les transforme en repas du soir.
Bon, c’est long d’écrire pour ce blog, et la fatigue du
voyage s’est accumulée à la fatigue de la première semaine indienne, alors, sur
ce, nous vous souhaitons une bonne soirée et nuit. Les photos suivrons demain,
promis=D
Pauline and Tom
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