jeudi 31 janvier 2013

Un rayon de soleil sur Edinburg

Un petit rayon de soleil, cela est bien rare ici. Mais bon, aller bien et apprendre l'anglais voilà ce qui est important. 

Charlotte

mercredi 30 janvier 2013

Délégué le 1er jour de classe!

Qu'est-que c'est bien de rentrer de l'école et de se baigner dans la piscine du voisin à 27°C !!

Enfin bref...  Aujourd'hui était un grand jour, celui de la rentrée et à ma plus grande surprise, je suis avec Piers le délégué de la classe grâce à quelques connaissances qui ont voté pour moi. Evidemment, Piers a contesté du fait qu'il fallait un Australien en tant que représentant de la classe, mais j'ai su convaincre les autres de me garder en leur disant qu'il fallait du changement et de la nouveauté française...
Sinon leur grande salle est assez petite et on appelle les profs par leur prénom. Les cours sont assez "relax" et notre tuteur aussi. J'apprends la guitare grâce aux conseils d'un ami de Piers, mais j'ai fait des percussions cet après-midi et ça m'a tout autant plu. Mon anglais progresse. Du moins je l'espère... 

Merci à Stéphane pour son message and see you everybody !

Marius 

dimanche 27 janvier 2013

Home, sweet home...


Une chambre qui accueille un jeune Français... 

Et puis, une chienne américaine, une véritable compagnonne du Français en question!



Stéphane

- 20° la semaine dernière...

Pour montrer que nous allons bien, Tom et moi...

Photo prise samedi soir. 

Dimanche matin, nous sommes allés patiner sur l'étang près de la maison où j'habite. Il faisait -20 la semaine dernière.



Stéphane

Cape Point

Le week-end dernier je suis allée avec la famille au Cape Point. Nous avons vu un tas d'animaux: des autruches, des babouins, des marmottes, mais malheureusement on n'a pas pu voir de zèbres ...

On a aussi visité une plage où il y a beaucoup de penguins. Etonnant d'en voir ici à cette chaleur!

Gayané


















vendredi 25 janvier 2013

C.I.A. à l'australienne

De retour du camping !!

Il y avait de drôles de bêtes quand même... Je n'aurais pas pensé voir un petit serpent passer devant moi, des "perroquets" manger dans ma main, un goanna (gros lézard d'environ 1,50 de long), wombat (une sorte de cochon-koala-ours-sanglier) ou encore des "seagull" qui ne sont en fait que des mouettes.










Mais de retour à Melbourne avec Claire, Brigitte, Piers et moi-même, nous sommes allés en ville pour se raconter nos aventures.

Petit clin d'oeil à Mme Necker - qui, je le pense, n'a jamais vu de panier aussi grand (une cabane dans Melbourne). L'école recommence le 30 Janvier mais ce n'est pas qu'une mauvaise chose, car je vais enfin pouvoir découvrir la totalité de ma classe !

Bonnes pensées bien chaudes (environ 35°C) pour ceux qui ont froid en lisant ça et j'encourage mes camarades de classe à écrire un peu plus, please !

See you ou plutôt "C.I.A" pour une meilleur prononciation australienne...


Marius













mardi 22 janvier 2013

Un hérisson à l'Australian Open"...

Et voilà notre hérisson à "l'australien open"
Avant d'aller voir les matchs j'ai pu faire du tennis avec ma correspondante pour mieux comprendre le jeu.
Et ça me plait bien.


Toute la famille aime le tennis alors on ne regarde que ça à la télé...
Federer à remporté un match contre un Australien.



La Suisse monte en puissance !!


Accoutumance...

Ca y est.
Ce quotidien est devenu mon quotidien.
Je me suis fait aux heures de voitures (qui font quand même toujours mal au petit écolo gentil que je suis), aux heures passées à regarder family guy en mangeant des chips et aux heures passées à chercher un troisième exemple pour mon message blog.

Mon anglais progresse gentiment, ça fait super bizarre quand un mot en anglais vient brusquement s'incruster dans mon little cerveau. Je commence aussi à ne pas devoir d'abord penser ma phrase en français puis la traduire, mais directement "composer" en anglais...

Les  Américains sont étranges. Non seulement ils font leur pièce de théâtre en 10ème, mais ils écrivent aussi leurs nouvelles cette année... Du coup, le bon garçon travailleur que je suis en a écrit une! Allez, vivons fous, je vous la copie-colle!

Léonard

THE LORD OF THE PIGS
by Léonard Dörig

The man woke with difficulty, a few minute after his clock. He token his morning coffee, put on his suit and enter in his car. While he heard the news, he thought at his future day. He had to go, like everyday, in a slaughterhouse to check if the standards are respected. A sad job for a sad man.

"You have arrived at your destination" said the voice on his GPS.
The factory was a big building  isolated in the Maine's wood.
The man was welcomed very politely by the owner of the slaughterhouse, who directly show him the first room, where the baby pigs grows up.
The man checked if they had enough food, enough drink, enough space…
Everything was OK, so the man and the boss went to another room, where they could see some pigs, howling, who advance, blinded, on a conveyor belt.
Every pig were separate by 20 cm of space, so the laws were respected…
The shouting of the pigs was terrible, so the man was almost happy to check the next room.
Here, we could just hear the noise of the machine, the machine who slays the pigs, stopping them to live, starting them to be edible.
"Here, we kill one pig every 2 second ! 30 pigs by minute !" announced proudly the owner to the man, who answer by a polished smile.
Finally, they arrived in the last room, where the pigs were intended.
There was a death silence in this death room. Hundreds persons were aligns, doing the same move 8 hours by day: cut the leg of the pig who come on the conveyor belt; remove the leg that the colleague just cut; remove the heart from the pig; remove the lung from the pig, or put the head of the pig in the big bin (who will be transform in a kind of flour, very rich in protein, that the baby pigs will eat to grow quicker)…
The man made a last   on his page, and follow the boss in his office.

There, the owner ask the man a question who will change his life: "You know, I have very big factory, I produce a lot but, but my pigs are not very sell… I made a survey, and the people don't really like it… So I taste it myself, and it's true, my pigs are not very good…Why? Do you have an idea?"
"Maybe…Maybe it's when you kill them." Answer the man. The man looked interested, so the man continued his  theory: "The pigs are more similar to the human that you think… When somebody need a skin graft, the doctors takes some pig's skin, because the DNA is almost the same… But this is not all: They can feel some emotion, like the apes, dolphin and others animals… They can be scared, for herself and for their kids. They know, they "feel" that everybody will be killed soon, so they are worried for their children. Maybe… Maybe if you let the pigs with their own children as long as possible, they will be less stressed, and taste better!"
The owner thanks the man, who went in his car, happy.
"Maybe, this pigs will have a better life. Always short; but better…" thought the man going in the next factory.

 Two years later...

The man  woke up a few minute before his clock.
Today, he will go in a special factory…The one were he said to let the animals with their children… A big slaughterhouse, somewhere in the Maine.
The boss welcome him warmly and brought him to his office. On the wall was hanged a statistic table, who skyrocket…"I have to say you a big THANK YOU!" said the owner to the man. "Since I do what you told me, my pigs are the number in all the store!"
"I'm exited to see to see that" answered the man.
They went to the first room, the baby pig's room…But the small animals  were always in separate cage; nothing change, the room is just bigger.
"Why are they not with their parents?" ask the man, surprised .
"Because I had a better idea…Come, you will be bluffed!"
They entered in the next room, who was completely silent. The conveyor belt carried some pigs very quiet, who advanced inexorably to the death.
"You told me that they were too scared…So I gave them a powerful tranquilizing…And business had never been as good as now!"

The man, completely disappointed, ask to do a blood test of a pig. He brought the blood sample and did a laboratory test.
The following day, the man went the slaughterhouse, determined, and ask to see the boss.
In his office,he show him the results of the test.
"The anodyne that you gave to your pigs have a side effect…. He create an habit. 
If your client buy it again and again, it's not because it's better than before.
Your pigs don't taste better.
People don't like it more.
They became addicted."


dimanche 20 janvier 2013

Une semaine en pleine campagne australienne


Voilà un long moment que je ne donne plus de nouvelles, ne vous inquiétez pas... je vais très bien.

J’ai passé une semaine dans un camp de la communauté des chrétiens en pleine campagne sur les terres d’une ferme. 

Il n’y avait pas de douche même si, certains jours, par une température de 36°, nous en aurions bien eu besoin !  Le seul moyen de nous rafraichir et d’enlever les couches de crème solaire accumulées sur notre peau ainsi que la sueur était de se baigner dans un étang d’où l’on ressortait le maillot noir !!!!

Je faisais partie des aides. Avec une autre Française, j’ai animé une activité de cirque.
Toutes les personnes que j’ai rencontrées durant cette semaine ont été très accueillantes et chaleureuses avec moi.

Mon jetlag a été de courte durée grâce à la routine du camp.

Le lieu du camp était magnifique. Un canard s’est joint à nous, il nous suivait même aux toilettes...

C'était une très belle expérience de pouvoir, dès le deuxième jour de mon arrivée,  rencontrer de nouvelles personnes ainsi que d’autre ados de mon âge.


Le soir, les étoiles illuminant le ciel ne sont pas les mêmes qu’à Genève. Seuls, la lune et le soleil nous sont des astres communs. 

Claire

samedi 19 janvier 2013

La vie aux Amériques...

La vie aux Amériques n'est pas la même que dans notre petit pays innocent...


- Ici, les gens boivent leurs boissons froides. Pour ce faire, ils ont des distributeurs de glaçons incorporés à leurs frigos.

- Les transports se font en voiture. Aux Etats-Unis, le concept du transport public n'existe pas.

- Les Américains n'aiment pas rire. Quand on fait une blague, ils ne rient pas, mais disent: " that's funny!"

- Les natels sont ne sont pas des natels. Ce sont des I-phone.

Léonard

jeudi 17 janvier 2013

Le farniente du hérisson



Et voilà quelques photos de mon hérisson en train de s'amuser...Et moi aussi!


Hier, c'était la première journée d'école. C'était leur rentree scolaire. Toute l'école était réunie et il y a eu un discours de  deux heures...

On est maintenant en période de poésie... Je viens de me rendre compte seulement maintenant combien cela devait être dur pour les élèves des échanges d'écrire en français!

Gayané






dimanche 13 janvier 2013

Caminante no hay Camino


Un titre qu'ils auraient aimé choisir, les élèves de 10ème classe... 
Un titre cher à Madame Cordier... Alors, pour nos voyageurs, élèves et professeurs:


Tout y passe et tout y reste.
Mais notre mission c'est d'y passer,
y passer faisant des chemins,
des chemins sur la mer.
Jamais je n'ai cherché la gloire,
ni à laisser dans la mémoire
des hommes ma chanson;
J'aime les mondes subtils,
légers et gentils
telles des bulles de savon.
J'aime les voir se peindre
en jaune de soleil et écarlate, flotter
sous le ciel bleu, trembler
soudainement et tomber.
Marchant, tes empreintes sont
le chemin, et c'est tout;
Marchant, il n'y a pas de chemin,
On fait le chemin en marchant.
En marchant on fait le chemin,
et en regardant en arrière,
on voit le sentier que jamais
l'on n'aura à refouler.
Marchant, il n'y a pas de chemin
mais des sillages dans la mer.
Il y a lontemps, dans cet endroit
Où les bois s'habillent en épines,
la voix d'un poète s'est fait entendre:
Marchant, il n'y a pas de chemin.
On fait le chemin en marchant,
coup après coup, vers après vers.
Il est mort, le poète, loin du foyer,
recouvert de la poussière d'un pays voisin.
En s'éloignant, ils l'ont vu pleurer,
Marchant, il y n'a pas de chemin,
On fait le chemin en marchant,
coup après coup, vers après vers.
Quand le chardonneret ne peut chanter,
Quand le poète est un pèlerin,
Quand il ne sert à rien de prier,
Marchant, il y n'a pas de chemin,
On fait le chemin en marchant,
coup après coup, vers après vers.



Le plus beau jour de leur vie


A l'heure où je tape sur ces touches, je reviens de mon premier match de basket.
L'équipe dans laquelle je joue est constituée exclusivement d'élèves des grandes classes de Merriconeag et, ce soir, on a joué contre les profs de l'école... 

Au début, tout s'est bien passé. Les adversaires n'étaient pas très rapides, alors on menait 19-9 à la mi-temps...et là, ça s'est gâté... On avait tellement confiance en nous qu'on a quasi arrêté de se faire des passes et, tout d'un coup, le score était de 21-21...

On s'est donc fait rudement bien gronder par le coach. On s'est alors donné à fond pour les cinq dernières minutes mais ...rien à faire: 26-25 pour eux, 3 minutes de jeu qui restent....(C'est bien si je fais des rimes, comme ça, les amateurs de poésies ET de basket seront contents de lire ce message...). 

Et là, un joueur de mon équipe saisit la balle d'un geste preste, court vers le panier grâce à ses pieds et fait mouche sans escarmouche! Mais ... il reste une minute trente de jeu! C' est le moment que choisit le prof d'histoire pour marquer un but comme une...( tais-toi, poète, on va se faire exclure du blog!).

Il ne reste donc plus qu'une minute de jeu, la tension est à son comble pour les spectateurs comme pour les joueurs...quelques essais, mais pas vraiment de résultats et, quand l'alarme de fin sonne, c'est une équipe de zombies dépressifs qui serre la main de leurs professeurs qui vivent le plus beau jour de leur vie.

Léonard

P.S:

Cher Dieu,

Si tu lis ce message, est-ce que tu serais d'accord de ne pas organiser de match inter-école avec celle de Stéphane et Tom, s'il-te-plait? Merci d'avance,

Un bon chrétien 

samedi 12 janvier 2013

"Réfléchis avant de parler!"

Hier soir, j'ai joué avec la famille au Pictionary. Ce jeu dans lequel je crie normalement tous les mots qui me viennent à l'esprit. 

On me dit souvent "réfléchis avant de parler!"... Cette fois, j'ai  suivi le conseil! Je n'avais pas d'autre choix...

Gayané

Coucou ... de la plage!

Les amis de Piers m'ont tous dit que j'avais un "really good accent" !

La plage est super belle et il fait très chaud. Ils conduisent du côté gauche de la route. La famille d'accueil est géniale et la maison d'été l'est aussi.

Je suis en vacance jusqu'au 1 février... je sens que je vais m'amuser !!

That's really awesome...

Marius






mercredi 9 janvier 2013

Attente...

16h30: aéroport Charles de Gaule, Paris . 
23h30: départ de l'avion pour le Cap, 11h de voyage.
Une si longue distance mais une heure de décalage horaire. 
6h d'attente en pensant à tout, comment va être ma famille d'accueil, ma correspondante, l'environnement...
3 mois!!! Quelle chance d'avoir cette opportunité !!! 
Tout me paraît  étranger sauf "Air France" 
Gayané

Clin d'oeil littéraire d'Amazonie




Monsieur Schwob vient de nous envoyer cette magnifique photo pour les amoureux de littérature que nous sommes tous: une maison de la littérature en Amazonie pour accompagner tous ses bons voeux à tous!

Nouvelles d'un homme heureux!

Nom dedzou! Qu'c'est trop bien!


Le premier cours du premier jour était une répétition de théâtre...Léonard est donc content.

Message à Mr Stähli: Bon calcul: ils parlent presque aussi bien l'allemand que moi!
Message à Mr Vétois: Aie... ils n'ont absolument aucune envie de faire la moindre parcelle de trigonometrie, ils n'aiment que les volumes, et c'est pas très rigolo...

Mais tout va bien, mon échange est complètement cool et ses parents sont plus gentils que les miens... (Ca va, je rigole, calme-toi, maman... Je t'aime et tu es la meilleure! Promis!)

Sur ce, je vais aller voir un match de basket dans lequel joue mon correspondant, alors see you soon!

Léonard


mardi 8 janvier 2013

Nouvelles du Pérou de la Signora Viscarra


QUERIDOS ALUMNOS DE LA DECIMA CLASE!



ACABO DE REGRESAR DE UN LARGO VIAJE POR LA COSTA NORTE DEL PERU. UN VIAJE CON TODA MI FAMILIA (3 HERMANOS Y MI HERMANA) PLAYA, SOL Y SAL DEL RICO MAR. AHORA ESTOY DE REGRESO EN LIMA Y COMIENZO A PREPARAR MI VIAJE PARA CUZCO DONDE ME PIENSO QUEDAR 2 SEMANAS.

LES DESEO UN MAGNIFICO ANO NUEVO 2013 Y QUE TENGAN UNA BUENA ESTADIA CADA UNO ES SUS PAISES RESPECTIVOS. 

MUCHAS GRACIAS A MARIO QUE ME ENVIO LA CARTA EN ESPANOL QUE ME PROMETIO, ESTA MUY BIEN ESCRITA, BRAVO!

LES MANDO MUCHOS SALUDOS Y HASTA PRONTO!




LA SRA. VIZCARRA

dimanche 6 janvier 2013

Une arrivée plutôt bien réussie...

Ils sont clairement moins fous que prévu.

J'irais même jusqu'à dire qu'ils ont trop la classe, avec leur forêt privée et leur chien qui obéit au doigt et à l'oeil... On a d'ailleurs une preuve irréfutable de l'intelligence canine: quand on lui dit: "give the tab" aucun souci, il obéit  comme un...euh...comme un chien, mais au moindre petit: "donne la patte", il me regarde avec dédain et s'en va d'un air déçu!

Bref, tout va bien, on s'apprête à aller skier et on mange neuf fois par jour.

Je me réjouis vraiment de voir à quoi ressemblera mon quotidien une fois que je me serai habitué à cette nouvelle manière de vivre...

Léonard

samedi 5 janvier 2013

Arrivées groupées à Boston!

Aéroport de Boston: l'arrivée de trois hérissons
Ryan attendait Léonard... Peter attendait Stephane... Caroline n'attendait pas Tom, enrôlée dans un match de basket... mais ce ne sera que partie remise pour découvrir sa bouille!

Les petits coeurs des parents peuvent battre un peu plus tranquilles devant vos airs épanouis!

vendredi 4 janvier 2013

Presque arrivée !

8h du matin à Genève 15h en à Kuala Lumpur. Le voyage est long et fatiguant, mais plus que 8h de vol avant de rencontrer la famille qui va m'accueillir durant trois mois. Tout le long du voyage, ce sont des décalages horaires à n'en plus finir... on dort lorsqu'il fait jour dehors ... on mange les repas à des heures invraisemblables ... on rencontre  plein de nationalités différentes. 

En arrivant à Kuala Lumpur, nous avons survolé une forêt de cocotiers ou bananiers; les paysages sont très différents. J'ai vraiment hâte d'arriver à Melbourne et de pouvoir me reposer... Par ce message, je souhaite aussi un très bon voyage à nos ami(e)s qui s'envolent aujourd'hui et dans les jours à venir.

Claire

Début du Voyage

Hier, à 14h30, on partait de Genève et maintenant nous voilà, Piers, Claire et moi, à l'aéroport de Kuala Lumpur en Malaisie pour arriver dans 8h à Melbourne en Australie !
Le voyage est long et fatiguant...

Marius



jeudi 3 janvier 2013

Changement...

J'ai déjà vécu environ 5775 réveils.
Le prochain sera un peu particulier, car ce sera la dernière fois pendant 6 mois que je me réveillerais sans contact avec une culture jusqu'alors totalement inconnue...

Mais l'heure est aux messages positifs, alors demain sera mon dernier réveil de monolingue (tiens, l'heure est aussi aux nouveaux mots!) empli de préjugés envers nos amis les Américains, car non, ce n'est pas parce qu'ils me demandent si je suis un terroriste qu'ils sont paranos, et ce n'est pas parce qu'ils aiment bien avoir un colt à la ceinture qu'ils me jetteront à Guantanamo le jour où ils me demanderont mon avis sur la peine de mort.

Mais je me réjouis de rencontrer ENFIN le vrai Mickey,
Disneyland me voilà!

Léonard



Partir...

Ca y est, je m'apprête à partir, loin, très loin de chez moi, pour découvrir un continent nouveau.
Je serai le Christophe Colomb de mon âme, de mon être, de ma conscience.
Je laisse derrière moi tous ceux que j'aime, ma famille, ma patrie, mes amis, mes amours...
Pour éclaircir mes expériences, un nouveau chemin dans ma science.
Ca y est, je m'apprête à partir, partir pour l’inconnu,
Je suis l'explorateur Christophe Colomb, sauf que lui il n'est jamais revenu.


 Stéphane